…Quand les Kabyles (re)découvrirent l’écriture une génération d’écrivains donnera à la Kabylie de grands chefs d’oeuvres dignes de la littérature universelle. Ces Hommes s’appellent Alliche ou Mezdad et il y en a d’autres dont le mérite n’est pas négligeable….
Eh bien voilà nous y sommes ! J’avais dit dans une précédente chronique qu’il fallait libérer la langue des laboratoires et la donner aux poètes. Bon nombres de nos amis n’avaient pas compris mes propos.
Chaque langue a son génie propre. Ce génie s’exprime dans des mots ciselés parfois dans la douleur par des poètes, des écrivains, des dramaturges. …. Ils ne soucient guère de morphèmes, lexèmes, des radicaux…. Leur soucis est de porter le message de ou vers les autres. Pretri ou aoriste le verbe n’a aucun sens pour eux si il ne raconte pas le doux rêve, l’amour et même la haine.
Le Kabyle, plus que d’autres, a toujours été porté par ses poètes aedes et autres troubadours. Et quand les Kabyles (re)découvrirent l’écriture une génération d’écrivains donnera à la Kabylie de grands chefs d’oeuvres dignes de la littérature universelle. Ces Hommes s’appellent Alliche ou Mezdad et il y en a d’autres dont le mérite n’est pas négligeable.
Dourari qui n’a jamais écrit en Kabyle néanmoins se classant parmis les favoris pour être le chef d’une fantoche académie, nous dit que les œuvres de ces précités ne répondent à aucune normes scientifiques. Il leurs denie meme le statut de remancier!
Sans doute que les œuvres de Mezdad ne sont pas écrites dans la novlangue que lui et ses semblables essaient de concocter dans les centres de recherches; ou que celles d’Alliche n’utilisent pas le Koené lexical qu’ils veulent imposer comme langue.
Je préfère me taire mais de grâce !
Ayez pitié de la langue kabyle. Sortez là des laboratoires et laissez y Dourari il ne serait d’aucune utilité dehors !
Amnay at Sedqa